Valse nocturne

Quand nous nous sommes engouffrés dans le tunnel, j’ai enfuis mon regard vers la vitre noire pour surveiller le reflet de tes yeux.

J’ai pensé aux mains de ma mère qui tout en serrant mes épaules te briseraient le cou.

Je me suis dit que je n’avais pas envie d’être brisée en deux par cet homme.

C’est mon arrêt, les portes s’ouvrent, j’entends ses pas lourds derrière moi, je dois faire vite.

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